Personnage issu de Reborn

Nom : Mebama Prénoms : Sumu Age : 23 ans, l'âge parfait. Date de naissance : 23 Mars (encore parfait ! Décidément, on ne se refait pas) Sexe && Orientation sexuelle : Monsieur; Bisexuelle, penchant Homosexuel. Problème de Santé: × École : C'est un Professeur de Sciences & aussi un très bon docteur (enfin...) à Katawa Gin, même s'il vaque parfois ailleurs. Race: Humain; Homme.

Sumu, c'est un jeune homme de taille moyenne, aux alentours d'un mètre soixante-quinze et qui pèse aux alentours de soixante kilos. Soixante-trois si on cherche vraiment à chipoter. Et le tout sans trop de graisse, que du muscle 100% pur Sumu. Et ben vous obtenez en gros son allure.

Un torse joliment fait, aux larges épaules, Sumu est plutôt bien foutu à ce niveau-là. Et en plus, son héritage génétique lui assure, miracle complet, une pilosité assez peu fournie. Voir très peu, lui donnant vaguement un air de nageur. Et de toute façon, il n'aime pas vraiment la pilosité, qu'il rase sans état d'âme. Son dos et son torse sont travaillés par les poids des livres de médecine qu'il s'est trimbalé jusqu'à peu. Et aussi par le fait qu'il nageait chaque matin, se levant essentiellement pour aller nager avant de manger. Il ne tiens pas franchement de la carrure de Schwarzy, mais possède plutôt des muscles noueux. Des abdos finement esquissés, des hanches pleines d'invitation et un cul qui ferait plus fantasmer si Sumu songeait à ne pas le cacher.

Niveau cheveux, on retrouve chez lui la rare particularité qu'il a d'être blond, tendant vers le châtain clair, à la mentalité très rebelle. C'est presque un enfer pour lui que de tenter de trouver un compromis avec la posture qu'ils prennent durant la nuit et celle que tout homme social devrait avoir. Alors au final, Sumu laisse couler. A quoi bon tenter de dompter l'incorrigible. Le tout forme donc une masse chaotique, dans structure fixe, qui lui a valu, étant jeune, le surnom de Végéta le super Saiyen. Fichue génération.

Ses yeux... Deux orbes marrons avec une touche de rouge magenta qui lui donne vaguement l'air d'un vampire. Ce qui est un peu accentué par sa peau de blond, éternellement pâle, malgré des efforts vain pour la faire dorer. En fait, tout ce qu'il réussit à faire, c'est à lui donner un joli hâle doré, après de nombreuses heures passé sous l'astre des jours. Le tout recouvrant ses joues minces, son nez fin... En fait, ses traits sont presque efféminés, ce qui le dérange un peu. Aussi a-t'il fait des efforts pour se muscler, mais malgré tout ses doigts long et fin ne réussissent pas a rendre crédible la chose. Ses lèvres sont peu fines, d'ailleurs, voir même pulpeuses. Bouche à turlute, ont dit certains. Même si ça reste à prouver.

Sa peau est plus ou moins douce, ayant des cicatrices ça et là, des mains ayant quitté leur douceur enfantine pour passer dans un monde plus adulte. Pour le reste du corps, essayer de faire du rentre-dedans, p'têt que ça marchera. Et n'essayez pas le malentendu, il connaît la musique. Originalité, essayez l'originalité. Et aussi de l'audace. Enfin bref, n'attendez rien en détails croustillants ici, le CSA et le staff l'a prohibé.


SERVIABLE GENTLEMAN BEAU-PARLEUR PATIENT COMPRÉHENSIF RÊVEUR SILENCIEUX;

Ce sont les mots qui sont les plus à même de décrire la personnalité de Sumu. Même si en creusant, on pourrait trouver une petite multitude de chose intéressantes, mais dans l'ensemble, on dirait un ange peu éveillé tombé du ciel. C'est un peu exagéré, mais nous n'en sommes jamais bien loin. Un chic type, correspondant un peu au cliché du prince parfait. Là encore c'est de l'exagération (et on pousse de plus en plus loin la métaphore ridicule), mais le mieux pour le décrire serait de disserter sur ces mots-là.

  Serviable. Oui, ce n'est pas un hasard si l'on a mis ce mot en premier; c'est le premier trait de caractère que l'on pourrait retenir de lui. Toujours prêt à porter le classeur d'une collègue, à soulever le carton de l'agent d'entretien, d'aller chercher des cafés au bistrot d'en face... Il pourrait même faire les courses avec vous si vous le lui demandiez. De toute façon, il accepte un peu toute les tâches sans rechigner, à croire qu'il a du sang neko dans les veines. Mais en réalité, pour ce jeune homme qui a avalé le livre des bonnes manières et de la bienséance en pleine crise d'insomnie, être serviable est un peu naturel. Peut-être tout simplement parce qu'il aimerait bien qu'en cas de demande de sa part, des mains surgissent de partout pour l'aider. Même si intérieurement, Sumu sait que le monde n'est pas comme dans les livres pour enfants. Aider son prochain dans l'espoir qu'il vous aide est niai et presque vain. Mais il croît en cet espoir, de même qu'il croît en l'humanité. Un grand idéaliste en puissance. Après tout, n'obéit-il pas au proverbe "il convient de se comporter toujours envers un ennemi comme s'il devait un jour devenir un ami." ?

  Gentleman. On rejoint un peu le domaine de la Serviabilité, même si c'est un terme plus complet, incluant une galanterie archaïque envers toute personne du sexe féminin. Presque inconsciemment, Sumu cherche de toute manière a aider les autres, débarrassant leur chemins d'obstacles. C'est un peu une sorte d'ange prêchant la paix autour de lui.Il court après l'utopie d'un monde où toutes les décisions prises le seraient sans s'entrechoquer comme après le lapin blanc. Il en reste donc parfaitement patient, stoïque, toujours prêt à aider celui qui lui demanderait un service. S'en est presque chiant, en fait. Ce qui explique peut-être la raison pour laquelle on lui a donné un surnom de neko durant un temps.

  Beau-Parleur. Enfin nous touchons du bois. Même si ce n'est pas le trait noir que l'on retrouverait ailleurs, Sumu connaît l'art de manier les mots de telle manière a obtenir ce qu'il veut. Versé dans cet art, il en résulte un petit potentiel de dragueur qu'il n'a jamais ménagé. Même si c'est à l'encontre d'une des valeurs d'un bon Gentleman, au final, Sumu estime qu'il mérite rétribution pour ses efforts envers la communauté. Aussi, après une bonne action, il lui semble parfaitement injuste de ne pas avoir de récompense. Manipulateur ? Non, mais pas loin. Ce n'est pas du tout de son goût que de faire les choses dans son seul intérêt, mais Sumu se plaît à passer outre cette règle s'il estime que le contexte l'ordonne. Un vieil instinct de conservation, peut-être. Quoiqu'il en soit, même s'il tente de ne pas abuser...

  Rêveur ? Et oui, il arrive que l'on perde le joli jeune homme dans une sorte de torpeur, le regard perdu dans le grand large. Ou bien sur les formes d'une personne, le fixant intensément sans le regarder. C'est parfois très gênant, mais s'évader dans sa tête, pour Sumu, c'est survivre à un monde où la fantaisie est tuée dans l'œuf quand vous atteigniez le tendre âge de 23 ans. Utopiste ? Presque. Son rêve serait un monde sans conflit, mais il sait que cela est irréaliste. Alors il tente malgré tout de faire le bien autour de lui. Même si les périodes qu'il passe le nez en l'air, déconnecté, peuvent être étranges aux yeux des autres. Mais fort heureusement, il réussit un peu à se contrôler. Et a éviter de se perdre dans les limbes alors qu'il était en train de suturer un patient où d'enseigner l'art de discerner les cloportes des limaces.

  Patient. Oui, c'est un peu une légende. Non, peut-être pas à ce point, mais arriver à faire craquer Sumu serait si exceptionnel que l'on devrait férier ce jour-là. Doté d'une patience rare, il n'y a bien que l'appétit qui puisse arracher aux lèvres du jeune homme un rictus. Toujours près à s'arrêter dans ce qu'il fait pour rendre service, il pourrait discuter une heure avec vous, démêler une énigme, n'importe quoi, du moment qu'il rend service.

  Silencieux. Parce que pour lui, garder le silence, c'est rester dans le calme et l'harmonie.



Son corps dénombre plus d'une dizaine de tatouage. Les trouverez vous sans devoir passer sur le grill ?




Mebama Ayame, cinquante six ans, marié, humain, directeur d'un hôpital privé.
Mebama Haru, quarante et un ans, mariée, humaine, femme au foyer.
L'histoire de Sumu. C'est un peu un récit classique, avec des petites touches humoristiques plus ou moins originales. Globalement elle a commencée lorsque Haru Mebama, sa mère, a accouché à l'hôpital de son quartier. Le père, Ayame Mebama, était présent lors de la chose, et a même versé une petite larme émue sous l'œil vitrifié d'une caméra, gracieusement tenue par une infirmière payée 2.000 ¥ de l'heure. Et celle-ci recadrât plus précisément sur le jeune bébé chauve qui braillait à tue-tête.
En gros, son enfance s'est plus ou moins bien passée dans l'ensemble, avec des hauts et des bas comme partout. Sa pré-scolarité à l'école primaire s'est bien faite, Sumu mettait du cœur à la tâche, prenant soin à bien apprendre les signes. A lui, dans la famille, presque tout lui était pardonné, petite vie de rêve, quoi.

Au collège, néanmoins, Sumu se heurta à un problème de taille, celle de se faire respecter. Si la cours de récréation de l'école primaire était un terrain de jeux aux yeux des adultes, c'étaient pour les enfants un camp d'entraînement pour la domination au collège, puis au lycée. Et tout portait à dire que Sumu ne serait pas de ceux qui seraient à l'abri des remarques acerbes des pseudo-dominants. Toutefois, le jeune homme eut tôt fait de prendre sa revanche. S'il demeurait un jeune enfant, Sumu n'en était pas moins un des plus malins. Aussi décidât-il de faire ce que personne n'aurait vraiment fait. Menacer le directeur du collège. Celui-ci évidement ne portât aucune attention au jeune pré-adolescent, lui promettant une révocation s'il ne bénéficiait pas d'un traitement de faveur. A vrai dire, personne n'y croyait vraiment. Mais c'est fou ce que l'on peut faire avec un téléphone et une caméra.
Quelques temps plus tard, des vidéos apparurent sur internet, portant le nom de l'établissement. Le contenu était simple, mais il s'agissait d'enregistrements des futurs délinquants de l'école qui traînaient avec des proches de mafieux. Et chaque vidéo montrait clairement le visage du concerné, ainsi que son nom. Si l'impact chez les jeunes étaient limité, voir même moqueur à l'encontre du caméraman anonyme, le directeur, lui, saisit bien vite le problème.
Dans un pays comme le Japon, les élèves se battent tous pour rentrer dans les meilleurs établissements scolaires. Et aucun de ses derniers n'accepterait des jeunes qui servaient de mules à leurs "grand-frères" mafieux, sans compter sur les appels alarmés des parents, de plus en plus pointés comme étant les géniteurs de dealers.
Le petit manège de Sumu se poursuivit sur un mois. Et tout ça avec la caméra de surveillance que ses parents avaient cachés dans l'oeil d'un grand nounours pour surveiller son ancienne nounou. Les enfants ont une telle imagination, à cet âge là, non ?
Quoiqu'il en soit, Sumu fit son retour dans le bureau du directeur, renouvelant sa demande. Bien sûr, il ne s'était pas dénoncé lui-même. Mais le directeur avait suffisamment tôt fait le rapprochement entre le caméraman anonyme et le jeune homme aux lèvres ourlées d'un sourire vainqueur.
Les sorties du jeune indiscret s'arrêtèrent rapidement, en même temps que le jeune Sumu eut droit de s'inscrire aux frais de l'école au club de son choix. Bon, bien sûr, on aurait peu avoir des doutes lorsqu'il demanda à ses parents de rentrer dans le club de Kendo, mais s'avéra avoir un niveau suffisant pour y rester. Et suffisamment pour éviter que l'on lui cherche des ennuis.

Le reste de son histoire est assez court et simple à résumer. Sa rentrée dans un bon lycée grâce à ses notes lui permirent d'espérer rentrer dans une école de médecine, poussée par son père, lui-même à la tête d'un petit hôpital. C'était un peu la trame de la vie qu'il souhaitait suivre. Avec une réputation qui le suivit, celle d'un parfait petit gentilhomme. Après le lycée, il fit cinq ans dans une école de médecine, section pédiatrie, pour finalement en sortir avec un diplôme en poche et l'espoir de succéder à son père sous peu, à la tête de l'hôpital. Ses rapports avec Remelia lui offrirent un poste dans son école, qu'il accepta, préférant autant se démarquer que rechercher des expériences nouvelles. Là-bas il y a fait plusieurs rencontres intéressantes, autant parmis ses élèves que ses collègues. Et parmi eux, il y a Nobu, un jeune garçon qu'il apprécie énormément. Même pet-être trop. Et aussi Okashi, une stalkeuse qui le suit sans grand motif. Et ça l'énerve doucement. Mais pour lem moment, il n'a rien fait à l'encontre de la miss. Mais finalement, ça ne l'ennuie pas.



Validé par White

• Prénom/ Surnoms ;; Si je dis Ceri'kun, on va me reconnaître. Alors je vais aussi rajouter Army, SeksiProf [no comment] et Lyly pour les autres.
• Âge réel ;; 18 ans frappantes.
• Niveau de RP ;; Je dirai bien... Mais qui va en grandissant.
• Découverte du forum? ;; On m'a harcelé sur msn, et j'aurai peut-être participé à la création d'un lieu commun.
• Vos premières impressions? ;; J'aime assez bien le thème, bien que ça fasse un peu nurserie. Sinon j'aime la pistache.

Ah désolé **
C'est juste que je voulais pas polluer ma fiche ^^'
Donc merci pour l'accueil, et pas de problème, vais essayer de finir sous peu ^^
Babaille !

J'ai fini toute ma présentation, je crois...

Voila c'est fait.
Officiellement Sumu est un professeur de Gin... Donc je lui met la couleur. *_*

Mici ^^